Michel Martin Drölling

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Michel Martin Drolling
Autoportrait (1804) ou portrait de l'artiste par Martin Drolling, son père ?. Localisation inconnue.[réf. nécessaire]
Biographie
Naissance
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ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
(à 64 ans)
Ancien 10e arrondissement de Paris
Sépulture
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Académie de France à Rome (-)
Académie de France à Rome
École nationale supérieure des beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Fratrie
Autres informations
Membre de
Académie des beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Maîtres
Genre artistique
Distinction
Prix de Rome ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Vue des jardins de la villa Médicis (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Michel Martin Drölling, né le [1] à Paris, et mort dans la même ville le , est un peintre néoclassique français.

Il est le fils du peintre Martin Drölling, et le frère de l'artiste peintre Louise-Adéone Drölling.

Biographie

Michel Martin Drölling est l’élève de son père Martin Drölling, puis de Jacques Louis David en 1806. Sa Colère d’Achille lui vaut d’obtenir le prix de Rome en 1810. Après avoir séjourné à l’Académie de France à Rome, de 1811 à 1816, il se fait connaître pour sa Mort d’Abel exposé au Salon de 1817. Il reçoit dès lors de nombreuses commandes et produit notamment La Loi descend sur terre, elle y établit son empire et y répand ses bienfaits pour le plafond de la salle des Hommes illustres du palais du Louvre, Les États-Généraux de Tours en 1836 et La Convention d'Alexandrie en 1837 pour le musée de l'Histoire de France au château de Versailles, Jésus au milieu des docteurs pour l’église Notre-Dame-de-Lorette de Paris en 1840. Il est élu membre de l’Académie des beaux-arts de l'Institut de France en 1837, et il est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Paris.

Ses peintures d’histoire répondent au style néoclassique.

Correspondance

Les lettres qu'il adresse à son père et à sa sœur, lors de son séjour à Rome entre 1811 et 1816, soit 37 lettres autographes à son père et 28 lettres qu'il reçut de son père, sont conservées à Paris au département des arts graphiques du musée du Louvre.

Œuvre

Salons

  • 1817 : La Mort d'Abel
  • 1822 : Portrait de Jacques-Antoine Manuel, réplique de l’œuvre du château de Versailles, huile sur toile, 116 x 90 cm, musée des beaux-arts de Brest[2]

Élèves

Œuvres

La force, Amien, Musée De Picardie.

Notes et références

  1. « MICHEL MARTIN DROLLING (PARIS 1786-1851) , Vue des jardins de la Villa Médicis », sur www.christies.com (consulté le )
  2. Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.
  3. Catalogue des peintures, dessins, … exposés dans la galerie du musée des beaux-arts de la ville de Rennes, 1876, p.79, il y présente une étude de Tête d'Éthiopien, n° 251.
  4. Explication Des Ouvrages de Peinture, Sculpture, Gravure, ... des Artistes Vivants Exposés Au Palais Des Champs-Elysées Le 15 Avril 1859, Societe Des Artistes Francais, p.200, n° 1646.
  5. Autoportrait, Versailles
  6. Louis XII, Base Atlas du Louvre

Annexes

Bibliographie

  • (en) « Michel Martin Drölling », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit Accès payant, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
  • E. de Saint-Maurice Cabany, Le Nécrologe Universel du XIXe siècle, t. 6, Paris, 1851, p. 291-298 (en ligne)
  • Laetitia Levrat, Martin Drölling (Bergheim 1752-Paris 1817) : un état de la question, thèse, Grenoble 2 - UFR Sciences Humaines, 2009-2010 ([PDF] en ligne).
  • Carole Blumenfeld, « Les conseils avisés d'un peintre à son fils : la correspondance entre Martin Drölling (1752-1817) et Michel-Martin Drölling (1786-1851) », Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français, Année 2009, p. 279–333

Liens externes

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