Jadis et Naguère

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Jadis et Naguère est un recueil de poèmes de Paul Verlaine publié à Paris en 1884 chez l'éditeur Léon Vanier.

Composition

Le recueil est divisé en deux parties, « Jadis » puis « Naguère », et l'ensemble comprend 42 pièces d'une forme assez disparate. Il reprend pour l'essentiel des poèmes écrits près de dix ans plus tôt.

Il comporte le célèbre Art poétique qui proclame dès les premiers vers les choix de Verlaine :


« De la musique avant toute chose
Et pour cela préfère l'impair
Plus vague et plus soluble dans l'air
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose ».


On y trouve aussi le poème Langueur (À la manière de plusieurs, II) dont les premiers vers furent reconnus comme fondateurs par les décadentistes :


« Je suis l'Empire à la fin de la décadence
Qui regarde passer les grands barbares blancs
En composant des acrostiches indolents,
D'un style d'or où la langueur du soleil danse ».

Éditions

Verlaine pré-publia quelques poèmes et les deux prologues de son recueil dans les numéros de janvier à juin 1884 de la Revue critique[1]. En avril était paru Les Poètes maudits, et en décembre, sort enfin son recueil.

Parmi d'autres, une édition bibliophilique a été publiée en 1971 avec 17 lithographies de Gabriel Dauchot (Le Livre contemporain).

Liens externes

  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Britannica

Notes et références

  1. La Justice, Paris, 11 juin 1884, p. 4.
v · m
Paul Verlaine
Lieux
France
  • Metz
  • Paris
  • Juniville
  • Rethel
  • Fampoux
  • Arras
  • Paliseul
  • Montpellier
  • Calais
Belgique
Angleterre
Portrait
Entourage
Famille
Vie sentimentale
  • Arthur Rimbaud (amant)
  • Philomène Boudin (amante)
  • Eugénie Krantz (amante)
Meilleurs amis
Œuvre poétique
Recueils en vers
Recueils érotiques
Recueils abandonnés
Poèmes individuels
Œuvre en prose
Œuvres d'imagination
  • Les Mémoires d'un veuf (1886)
  • Louise Leclercq - Le Poteau - Madame Aubin - Pierre Duchatelet (1886)
  • Histoires comme ça (1888-1890)
  • L'Obsesseur (1893)
  • Conte pédagogique (1895)
Œuvre autobiographique
  • La Goutte (1885 ?)
  • Gosses (1889-1891)
  • Mes Hôpitaux (1891)
  • Mes souvenirs de la Commune (1891)
  • Souvenirs sur Théodore de Banville (1891)
  • Souvenirs d'hôpital (1891)
  • Au quartier. Souvenirs des dernières années (1891)
  • Bénéfices (1891)
  • Le Diable (1891)
  • Chronique de l'hôpital. L'ennui, là (1892)
  • Souvenirs d'un Messin (1892)
  • Mes Prisons (1893)
  • Quinze jours en Hollande. Lettres à un ami (1893)
  • Onze jours en Belgique (1893)
  • Un tour à Londres (1894)
  • Confessions (1895)
  • Croquis de Belgique (1895)
  • [Dernières chroniques de l'hôpital] (1895)
  • Enfance chrétienne (posthume)
  • [Fragment dont on a pu retrouver la date, et où Verlaine parle de sa mort à cinquante-deux ans] (posthume)
  • La Mère souris (posthume)
  • Les Bigarrures de l'honneur (posthume)
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Œuvre polémique et voyages
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