Commissaire Permilleux

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Le commissaire Permilleux, responsable du Service des affaires juives rattaché en 1943 à la Police judiciaire, est chargé à partir de novembre 1942 d'arrêter les juifs en infraction avec les ordonnances allemandes[1].

L'historien Jean-Marc Berlière écrit que Permilleux dirige « sans état d'âme » un service qui a vocation à gérer les perquisitions et arrestations, « multiplie les opérations d'initiative et établit les procédures légales pour les transferts à Drancy des israélites arrêtés »[2]

La brigade du Commissaire Permilleux est formée de cinquante inspecteurs, qui enquêtent à partir de dénonciations parvenues au Service juif de la Gestapo. La brigade doit les identifier car les dénonciations sont imprécises et les juifs se cachent[3].

Permilleux a plus tard été jugé et blanchi par le témoignage de plusieurs juifs[réf. nécessaire].

Références

  1. Sami Dassa, Vivre, aimer avec Auschwitz au cœur, Éditions L'Harmattan, 2002, p. 160
  2. Jean-Marc Berlière, Le monde des polices en France : XIXe – XXe siècles, Éditions Complexe, , 275 p. (lire en ligne), p. 183-184
  3. Laurent Joly "Dénoncer les Juifs sous l'Occupation", CNRS Éditions, 2017 (analyse)
v · m
Collaboration en :
Prélude
Début
 v · m Participants
Participants
A – B
C – F
G – L
M – P
R – Z
Gouvernements
  • Laval V
  • Flandin II
  • Darlan
  • Laval VI
Parties et
organisations
Juridique
et traités
Idéologie
et politique
Portée
géographique
  • Zone libre (État français)
  • Zone occupée
  • Algérie (départements)
  • Syrie et Liban (mandat)
  • Maghreb
    • Maroc (protectorat)
    • Tunisie (protectorat)
  • Afrique-Occidentale française
    • Côte d'Ivoire (colonie)
    • Dahomey (colonie)
    • Guinée française (colonie)
    • Haute-Volta (colonie)
    • Mauritanie (colonie)
    • Niger (colonie)
    • Sénégal (colonie)
    • Soudan (colonie)
    • Togo (colonie)
  • Afrique-Équatoriale française
    • Tchad (territoire)
    • Moyen-Congo (colonie)
    • Oubangui-Chari (territoire)
    • Cameroun (colonie)
  • Asie et Océanie
    • Annam (protectorat)
    • Cambodge (protectorat)
    • Cochinchine (colonie)
    • Inde (colonies)
    • Indochine (fédération) Article de qualité
    • Laos (protectorat)
    • Nouvelles-Hébrides (condominium)
    • Kouang-Tchéou-Wan (territoire)
    • Tonkin (protectorat)
Presse et
propagande
Antisémitisme
et persécution
Lois
Administration
Rafles
Discrimination
et spoliation
Camps
Déportation
Armée
Forces armées
Régulières
Milices
Auxiliaires
Batailles
Officiers
Dissolution
Répercussions
et impact
Histoire
et médias
Histoire et
historiographie
Cinéma
Romans
  • icône décorative Portail de la Seconde Guerre mondiale