Adémaï bandit d'honneur

Cet article est une ébauche concernant un film français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les conventions filmographiques.

Adémaï bandit d'honneur

Données clés
Réalisation Gilles Grangier
Scénario Paul Colline
Acteurs principaux

Noël-Noël
Georges Grey
Alexandre Rignault

Sociétés de production Les Prisonniers Associés
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie
Durée 97 minutes
Sortie 1943

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

modifier Consultez la documentation du modèle

Adémaï bandit d'honneur est un film français réalisé par Gilles Grangier sorti en 1943.

Synopsis

Pour les vacances, Adémaï va en Corse dans sa famille et se retrouve impliqué dans une vendetta…

Fiche technique

  • Réalisation : Gilles Grangier
  • Scénario : Paul Colline
  • Décors : Jacques Colombier
  • Photographie : Maurice Barry
  • Montage : Germaine Fouquet
  • Son : Jacques Lebreton
  • Musique du film : Raymond Gallois-Montbrun et Jacques Richepin
  • Société de production : Les Prisonniers Associés
  • Pays : Drapeau de la France France
  • Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
  • Genre : Comédie
  • Durée : 97 minutes
  • Date de sortie :

Distribution

Réception

Troisième film des aventures très populaires du personnage d'Ademaï, après Adémaï aviateur (1933) et Adémaï au Moyen Age (1935), la réception du public est immédiatement chaleureuse. Le film attire en effet 458 603 spectateurs dans Paris intra muros sur les 4 derniers mois de 1943 seulement, dans un échantillon des 235 salles sur les 350 que comptait alors Paris[1],[2].

Dans ses interventions à la radio chez Laurent Ruquier, le journaliste et chroniqueur Pierre Bénichou citait souvent Adémaï bandit d'honneur comme un de ses films préférés car le premier qu'il ait vu au cinéma étant enfant.

Notes et références

  1. « Box-office Paris 1943 - De "25 ans de bonheur" à "Les ailes blanches" », sur Boxoffice-retro (consulté le )
  2. l’Assistance publique, percevait depuis le XVIIe siècle, pour son financement, une taxe, appelée le droit des pauvre et qui était prélevée sur les billets de spectacles de tout types. Le cinéma en faisait donc partie. L’Assistance publique participait à sa collecte, et faisait ainsi des contrôles des entrées et des recettes. C’était suffisamment pris au sérieux pour que le COIC (l’ancêtre du CNC) s’appuie sur les chiffres de l’Assistance pour établir ses statistiques de 1942 à 1944. Si l’on en croit le listing des archives de l’Assistance Publique, il s’y trouve toutes les entrées de toutes les salles parisiennes depuis 1934 http://www.boxoffice-retro.com/c-est-quoi-c31014694
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • Filmweb.pl
    • IMDb
    • The Movie Database
    • Unifrance
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Larousse
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • BnF (données)
v · m
Réalisateur
  • icône décorative Portail du cinéma français
  • icône décorative Portail de la Corse
  • icône décorative Portail des années 1940