Yvonne Pellé-Douël

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Yvonne Pellé-Douël
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Biographie
Naissance
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AlgerVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 69 ans)
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PhilosopheVoir et modifier les données sur Wikidata

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Yvonne Pellé-Douël, de son nom composé d'usage, née Douël le à Alger et morte le à Avon, est une philosophe et féministe française, notamment impliquée dans le féminisme chrétien.

Biographie

Elle a étudié au lycée Molière à Paris. Après des études de philosophie à la Sorbonne au cours desquelles elle milite au sein de la Jeunesse étudiante chrétienne, elle est reçue 4e à l'agrégation de philosophie en 1942. Elle enseigne notamment à Nice, à Saint-Quentin, à Fontainebleau, à Paris où elle retrouve le lycée Molière après un passage au lycée Jules Ferry, également situé à Paris. Elle épouse en 1948 Paul Pellé, ingénieur de l'École centrale, et a quatre filles, de 1948 à 1958. Christilla Pellé-Douël naît en 1955[1]. Après trois ans au Cameroun (de 1961 à 1964) où elle contribue à fonder l'université de Yaoundé, Yvonne Pellé-Douël est nommée en 1964 à la faculté des lettres de Dijon, où elle enseigne quelques années avant de finir sa carrière à Nanterre[2]. Spécialiste de la philosophie de la mystique, et militante pour l'égalité entre hommes et femmes au sein de l'Église catholique, conférencière appréciée dans les milieux chrétiens, où elle est reconnue, elle est entendue comme experte au concile Vatican II. Elle s'éteint à Avon le , victime de la maladie d'Alzheimer.

Publications

  • 1960 : Saint Jean de la Croix et la nuit mystique, Éditions du Seuil, 190 pages
  • 1967 : Être femme, éditions du Seuil, 270 pages[3]
  • 1971 : Sexologie, L'érotisme (avec Raoul Palmer, E.-J. Leblanc et alii)

Notes

  1. Prénom Nom : Christilla PELLÉ-DOUËL et France Vit à : BARBIZON, « Christilla PELLÉ-DOUËL », sur Copains d'avant (consulté le )
  2. Dossier de carrière conservé aux Archives nationales sous la cote 19771235/797.
  3. Compte-rendu par Thérèse-Anne Druart dans la Revue philosophique de Louvain, 1968.
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