Victor Peralda

Cet article est une ébauche concernant un militaire français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Victor Peralda
Capitaine Peralda
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
TébessaVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
OfficierVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Grade militaire
CapitaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Prononciation

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Victor Peralda (1889-1918) est un capitaine de l'armée française qui s'est spécialement distingué durant la Première Guerre mondiale. Il est parrain de promotion de la Corniche Brutionne du Prytanée militaire 2005-2007.

Biographie

Victor Peralda naît le à Tébessa (Algérie). Il rentre au Prytanée Militaire de La Flèche en 1905 à l'âge de 16 ans où il passe quatre années. En 1909, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr promotion "De Fez". Il en sort en 1912 et choisit l'infanterie. Affecté au 128e régiment d'infanterie de ligne, il est nommé capitaine le . Au cours de la guerre de 1914-1918, il se distingue particulièrement puisqu'il est cité huit fois, dont six fois à l'ordre de l'armée, et qu'il est nommé chevalier de la Légion d'Honneur. Il tombe finalement au front, devant Rechicourt-la-Petite, le 20 février 1918, fidèle à la devise de son régiment: "Ce que l'on me demande, je le donne et au-delà". Il est alors cité à l'ordre de l'armée: "Belle figure de soldat et de Chef. Déjà sept fois cité. Au cours d'une récente attaque a entraîné à l'assaut le bataillon qu'il commandait et dont il était l'âme avec son entrain habituel, marchant avec les premières vagues. Tombé mortellement frappée en prononçant comme dernières paroles: 'Tournez-moi la figure vers l'ennemi!' "

  • icône décorative Portail de l’Armée française
  • icône décorative Portail de la Première Guerre mondiale