Vaga luna, che inargenti

Cet article est une ébauche concernant l’opéra ou l’opérette et la musique classique.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Vincenzo Bellini (1801–1835)

Vaga luna, che inargenti (« Belle lune, d'une lumière argentée ») est une ariette composée par Vincenzo Bellini en 1833[1] sur un texte italien anonyme. Elle est dédiée à Giulietta Pezzi[2]. La partition est publiée à titre posthume en 1838 par la maison d'éditions Casa Ricordi sous le titre : Tre ariette inedite (Trois ariettes inédites). Les deux autres airs sont : Il fervido desiderio et Dolente immagine di Fille mia.

Pièce romantique et belcantiste, elle est très souvent interprétée en récital (transposée pour toutes les tessitures) et enregistrée. Sa tonalité originale est en la bémol majeur avec un tempo d'andante cantabile.

Vers

Vers originaux en italien[3] :

Vaga luna, che inargenti
queste rive e questi fiori
ed inspiri agli elementi
il linguaggio dell'amor;

testimonio or sei tu sola
del mio fervido desir,
ed a lei che m'innamora
conta i palpiti e i sospir.

Dille pur che lontananza
il mio duol non può lenire,
che se nutro una speranza,
ella è sol nell'avvenir.

Dille pur che giorno e sera
conto l'ore del dolor,
che una speme lusinghiera
mi conforta nell'amor.

Sources

  1. Vincenzo Bellini (1801-1835), [Vaga luna che inargenti], (lire en ligne)
  2. Concert notes, 24 April 2008, Istituto Italiano di Cultura di Nairobi
  3. « Carnets sur sol », sur operacritiques.free.fr (consulté le )
  • Paton, John Glenn (2004). Passerelle vers les chansons et arias italiennes : High Voice . Alfred Music Publishing, pp. 130–135. (ISBN 0-7390-3547-9)

Liens externes

  • "Vaga luna, che inargenti": Scores at the International Music Score Library Project
  • [vidéo] "Vaga luna, che inargenti" sur YouTube, Luciano Pavarotti, James Levine, Lincoln Center 1988.
  • icône décorative Portail de la musique classique
  • icône décorative Portail de l’Italie