Société civile des éditeurs de langue française

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Société civile des éditeurs de langue française
Histoire
Fondation
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Cadre
Sigle
SCELFVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Forme juridique
Autre société civileVoir et modifier les données sur Wikidata
Domaine d'activité
Autres activités de soutien aux entreprises n.c.a.Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Pays
 FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Fondateurs
Jean-Claude Fasquelle, Paul Flamand, Henri Flammarion, Claude Gallimard, Robert Laffont, Jérôme LindonVoir et modifier les données sur Wikidata
Président
Philippe Robinet (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
www.scelf.frVoir et modifier les données sur Wikidata
Identifiants
SIREN
444201198Voir et modifier les données sur Wikidata
OpenCorporates
fr/444201198Voir et modifier les données sur Wikidata

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La Société civile des éditeurs de langue française (SCELF) est une société française de perception et de répartition des droits d’auteurs, fondée en 1960.

Historique

La SCELF est fondée en 1960 par Robert Esmenard, Jean-Claude Fasquelle, Paul Flamand, Henri Flammarion, Claude Gallimard, Robert Laffont et Jérôme Lindon. Elle a été successivement présidée par Henri Flammarion, Christian Bourgois, Paul Otchakovsky-Laurens, Claude de Saint-Vincent, Olivier Bétourné et Gilles Haéri[1],[2].

Depuis le , la SCELF est mandatée pour percevoir les droits d’auteurs dus au titre des lectures publiques en lieu et place de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques[3]. Ce rôle peut être critiqué par des collectifs d’auteurs, de lecteurs et de bibliothécaires[4]. Sous la pression de ces collectifs — en particulier de l’Association des bibliothécaires de France — ainsi que de la Ministre de la Culture Françoise Nyssen, la perception sur les lectures publiques est suspendue pour 5 ans à partir de [5].

Financement

La SCELF « est financée par les cotisations annuelles de ses membres, ainsi que par une retenue prélevée sur les droits perçus »[1].

Notes et références

  1. a et b « La SCELF : Présentation » (consulté le )
  2. Michel Puche, « Gilles Haéri nouveau président de la Scelf », sur LivresHebdo.fr, (consulté le )
  3. « L'adaptation : Lectures publiques », sur SCELF.fr (consulté le )
  4. Calimaq, « Pourquoi il faut résister à la taxation des lectures publiques et des Heures du Conte en bibliothèque », sur Scinfolex.com, (consulté le )
  5. Antoine Oury, « La SCELF suspend la perception sur les lectures publiques pour 5 ans », sur Actualitté.com, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
  • Ressource relative aux organisationsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • SIREN
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