Partenariat mondial sur l'intelligence artificielle

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Partenariat mondial sur l'intelligence artificielle
Carte des pays membres directement ou via l'Union européenne.
Histoire
Fondation
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Cadre
Sigle
PMIAVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Organisation internationaleVoir et modifier les données sur Wikidata
Domaine d'activité
Intelligence artificielleVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Paris
MontréalVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Membres
29 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs
Australie, France, Allemagne, Inde, Italie, Japon, Mexique, Nouvelle-Zélande, Corée du Sud, Singapour, Slovénie, Royaume-Uni, États-Unis, Union européenneVoir et modifier les données sur Wikidata
Co-dirigeants du comité de direction
Yoichi Iida (2023-2024)
Inma Martinez (2023-2024)
Hébergé par
Site web
(en) gpai.aiVoir et modifier les données sur Wikidata

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Le Partenariat mondial sur l'intelligence artificielle (PMIA) est une initiative internationale créée pour guider le développement et l'utilisation responsables de l'intelligence artificielle (IA) d'une manière qui respecte les droits de l'homme et les valeurs démocratiques communes de ses membres. Le partenariat a été proposé pour la première fois par le Canada et la France lors du 44e sommet du G7 en 2018, et officiellement lancé en juin 2020[1]. Il est hébergé par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Le PMIA cherche à combler le fossé entre la théorie et la pratique en soutenant la recherche et les activités appliquées dans des domaines de l'IA qui concernent directement les décideurs politiques[2]. Il rassemble des experts de l'industrie, de la société civile, des gouvernements et du monde universitaire pour collaborer sur les défis et les opportunités présentés par l'intelligence artificielle[2],[3].

Histoire

Le Partenariat mondial sur l'intelligence artificielle a été annoncé en marge du sommet du G7 de 2018 par le premier ministre canadien Justin Trudeau et le président français Emmanuel Macron. Il est officiellement lancé le 15 juin 2020[1] avec quinze membres fondateurs : Australie, Canada, France, Allemagne, Inde[4], Italie, Japon, Mexique, Nouvelle-Zélande, République de Corée, Singapour, Slovénie, Royaume-Uni, États-Unis et Union européenne[5],[6].

L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) héberge un secrétariat dédié au support des activités et des organismes de gouvernance du PMIA[5]. L'UNESCO a rejoint le partenariat en décembre 2020 en tant qu'observateur[7],[5]. Le 11 novembre 2021, la Tchéquie, Israël et quelques autres pays de l'UE l'ont également rejoint[8], portant le nombre total de membres à 25 pays[9]. Depuis le sommet de novembre 2022, la liste des membres s'élève à 29[10].

L'Autriche, le Chili, la Finlande, la Malaisie, la Norvège, la Slovaquie et la Suisse ont été invités. Toutefois, ces sept membres attendent l'approbation de leur adhésion[réf. nécessaire].

Membres

Les 29 membres suivants du PMIA sont[10] :

Les membres invités et en attente d'approbation sont[réf. nécessaire] :

Organisation

Les experts du PMIA collaborent sur plusieurs thèmes de groupes de travail: IA responsable (y compris un sous-groupe ad hoc sur l'IA et la réponse au risque de pandémie), gouvernance des données, innovation et commercialisation, et avenir du travail[2]. Les groupes de travail du PMIA sont soutenus par deux centres d'expertise : un à Montréal qui soutient les deux premiers groupes de travail, et un à Paris qui soutient les deux derniers[2]. Il dispose également d'un comité de direction dont les dirigeants élus ont jusqu'à présent aussi dirigé le Multi Stakeholder Group[11]. Ces dirigeants ont été :

  • Jordan Zed et la baronne Joanna Shields (2020-2021),
  • Joanna Shields et Renaud Vedel (2021-2022),
  • Yoichi Iida et Inma Martinez (2023-2024)

Le PMIA a une présidence et un hôte tournants (un peu comme le G7). Les présidences ont été :

Références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Global Partnership on Artificial Intelligence » (voir la liste des auteurs).
  1. a et b (en) Can et Kaplan, « Transatlantic partnership on artificial intelligence: realities, perceptions and future implications », Global Affairs,‎ , p. 537–557 (lire en ligne)
  2. a b c et d (en) « About - GPAI », gpai.ai (consulté le )
  3. (en) Amir Banifatemi, Nicolas Miailhe, R. Buse Çetin, Alexandre Cadain, Yolanda Lannquist et Cyrus Hodes, « Democratizing AI for Humanity: A Common Goal », Springer,‎ (lire en ligne)
  4. (en) « India becomes a founding member of Global Partnership on Artificial Intelligence », sur Digit, (consulté le )
  5. a b et c (en) Laurie Clarke, « Global Partnership on Artificial Intelligence founded by UK and other nations » [archive du ], NS Tech, (consulté le )
  6. (en) « Trudeau stresses digital tech's potential — and dangers — at global AI summit », sur CityNews Toronto (consulté le )
  7. (en) « UNESCO joins Global Partnership on Artificial Intelligence as observer » [archive du ], UNESCO, (consulté le )
  8. (he) Itamar Eichner, « Israel has joined the GPAI forum », YNet, (consulté le )
  9. (en) « GPAI Website », (consulté le )
  10. a et b (en) « Community », sur GPAI (consulté le )
  11. (en) « Steering Committee », sur GPAI (consulté le )

Liens externes

  • (en) Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata
  • icône décorative Portail des relations internationales