Paolo Iachvili
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/ff/Paolo_Iashvili.jpg/260px-Paolo_Iashvili.jpg)
Naissance | |
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Décès | ![]() Tbilissi ![]() |
Sépulture | |
Nom dans la langue maternelle | პაოლო იაშვილი ![]() |
Nationalité | géorgienne ![]() |
Activités | Écrivain, poète ![]() |
Distinction |
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![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c9/2024-05-04_Plaque_at_the_Paolo_Iashvili_House_Museum_in_Argveti.jpg/220px-2024-05-04_Plaque_at_the_Paolo_Iashvili_House_Museum_in_Argveti.jpg)
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Paolo Iachvili ( – ) est un poète géorgien et un des leaders du mouvement des symbolistes géorgiens. La pression de gouvernance soviétique, la perte de ses amis en 1936-37 a touché Paolo Iachvili et il s'est suicidé dans le bâtiment de l'Union des écrivains de la Géorgie.
Né près de Koutaïssi, Géorgie occidentale, il a été instruit à Koutaïssi, Anapa et Paris. Après le retour en Géorgie en 1915, il est devenu l'un des cofondateurs et idéologues du groupe symboliste géorgien Cornes bleues, et a édité le magazine littéraire Tsisperi Qantsebi (Blue Horns). Au début des années 1920, Iachvili, « brillant, poli, culturel, amusant, européen et beau » tel que décrit par son ami et traducteur Boris Pasternak, a émergé comme un chef de file de la poésie postsymboliste géorgienne et expérimentale.
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