Nicole Quétin

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Nicole Quétin
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Biographie
Naissance
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CourbevoieVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
(à 79 ans)
16e arrondissement de Paris
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Peintre, lithographe, graveuseVoir et modifier les données sur Wikidata

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Nicole Quétin est une artiste peintre, lithographe et graveuse née le à Courbevoie et morte le dans le 16e arrondissement de Paris[1].

Biographie

Née à Courbevoie le [2], elle passe son enfance à Neuilly. Passionnée par le dessin, elle intègre l'École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art de Paris en 1955 (mention publicité) puis poursuit sa formation à l'École nationale supérieure des beaux-arts Paris en 1956, où elle est l'élève de Raymond Jean Legeult[2].

En 1960, elle devient professeur de dessin et arts appliqués au lycée François Villon à Paris[2]. Elle mène alors en parallèle sa carrière de professeur au lycée et sa carrière d'artiste dans une gamme d’expression étendue : dessin, gouache, aquarelle, huile sur toile.

En 1969, alors élève de Jean Delpech à l'Atelier de la ville de Paris, elle s'initie à la gravure sur cuivre. Quatre-vingt de ses gravures sont aujourd’hui à la Bibliothèque nationale de France[3].

Dès 1971, elle fait partie des peintres d’avant-garde.

Conservation

Ses toiles et ses gravures sont dispersées dans des collections particulières en Europe et aux États-Unis[4].

Expositions

Elle expose dans les prestigieux salons parisiens : salon des réalités nouvelles (1972), salon d’automne au Grand Palais (1972 – 1986) ; salon Comparaisons (Groupe lettre et signe, 1972-1986) ; salon des Indépendants (1972-1987) ; salon du dessin et de la peinture à l'eau au Grand Palais ; Sociétaire du salon d’automne au Grand palais puis au quai Branly (1981 à 2001)[4].

De 1972 à 2002, elle participe à de nombreuses expositions à Paris et dans les villes de la région parisienne : Versailles, Orly, Châtillon, Vélizy-Villacoublay, Clamart[4].

Une partie de son œuvre est enracinée dans la région de Caylus dans le Tarn-et-Garonne, où elle expose souvent entre 1971 et 2002[4] : Caylus, Albi, Auch, Château de Foucault Gaillac, Castres[5].

Réception

Monique Barrier, Présidente de l'association des Amis du Vieux Châtillon, évoque son œuvre, dans ses différentes périodes, en ces termes[4] : « Comme des éclairs fulgurants, les rouges, les oranges, les jaunes éclaboussent de luminosité. Sans aucun doute, la peinture de Nicole Quetin a du tempérament. »

« Sa peinture part du réel vers l'abstrait dans les tons gris, noirs, blancs, violet. »

« Ses tableaux dédiés aux paysages ensoleillés privilégient autant le graphisme que la couleur. »

Un critique d'art lui attribuera le qualificatif de peintre solaire[4] (cf vidéo).

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee.
  2. a b et c (en) « Nicole Quétin », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit Accès payant, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
  3. Fiche de Nicole Quétin sur data.bnf.fr.
  4. a b c d e et f « Nicole_QUETIN », sur jmquetin.free.fr (consulté le )
  5. « Expositions temporaires du CNMJJ ».

Liens externes

  • Ressources relatives aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Artists of the World Online
    • Bénézit
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