Maxime Boulard de Villeneuve

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Maxime Boulard de Villeneuve
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
NiceVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata

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René Louis Maxime Boulard de Villeneuve, né en 1883 à Paris et mort en 1971 à Nice, est un artiste peintre paysagiste français.

Biographie

Maxime Boulard de Villeneuve est né le dans le 8e arrondissement de Paris[1]. Il est le fils unique de Maurice Boulard de Villeneuve (1856-1918) et de Marguerite Chesnard, morte en couches. Maurice Boulard de Villeneuve s’est remarié, et Maxime a eu un demi-frère et une demi-sœur de la nouvelle union de son père. Maxime Boulard de Villeneuve épouse Georgette Martin, artiste peintre comme lui, en 1914[2].

Jeune homme, dans son Paris natal, Maxime Boulard de Villeneuve a été pris dans les mouvements artistiques révolutionnaires du moment. En 1901, il s’installe à Montmartre, où il loue un studio avec son ami Francis Picabia. Il subit l'influence des Fauves pendant quelques années avant d'assagir son style. De 1922 à 1939, il expose des paysages et des portraits au Salon de Paris. En 1926, il présente deux paysages de Montmorency au Salon des indépendants.

En 1929, il se fait remarquer en exposant à la Galerie J. Allard à Paris des paysages d'Enghien, Montmorency, Deuil, Groslay, Villefranche et Nice[3].

Sa quête d’une atmosphère poétique le conduit dans le sud de la France où il vécut la plus grande partie de sa vie.

Après sa mort le à Nice[1], la galerie américaine Wally Findlay rachète une grande partie de ses œuvres lors de la vente de son atelier, et organise en 1975, à Palm-Beach en Floride, une exposition rétrospective du peintre.

Œuvres

Maxime Boulard de Villeneuve aborde des sujets de la vie quotidienne et peint son environnement. Après des incursions dans le fauvisme et le cubisme au début des années 1900, il est influencé par Pierre Bonnard.

« Il aimait flâner à travers toutes les provinces de France, et peindre ports, places de villages, jardins en terrasse, et chemins de campagne. Choisel, Nice, Antibes, Saint Bazile, Biot, Villefranche, et Vence, ont été maintes fois représentées par le peintre, tant dans ses premières œuvres que dans celles de la maturité.[réf. nécessaire] »

  • Vierges bretonnes, (musée Jules Chéret, Nice)

Bibliographie

  • « Paintings by de Villeneuve, on view at Wally Findlay », Palm-Beach daily news, .
  • « Maxime Boulard de Villeneuve, 1884-1971 : peintures », catalogue de vente, Paris, Hôtel Drouot, .
  • « Tableaux modernes : ateliers Maxime Boulard de Villeneuve (1884-1971), Pierre Genolhac (1896-1964) et Henri Sollier (1886-1966), Pierre Bonnard (1867-1947), suite de dessins et d'aquarelles, estampes, gravures, lithographies, Dali, Fenosa, Fini, Gen-Paul... peintures, Alaci, Andreini, Bermond... », catalogue de vente, Paris, Hôtel Drouot, .

Notes et références

  1. a et b Archives de Paris 8e, acte de naissance no 390, année 1883 (page 9/31) (avec mention marginale de décès)
  2. Archives de Paris 14e, acte de mariage no 1607, année 1914 (page 23/31) (avec mention marginale des professions des mariés)
  3. Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 180

Liens externes

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