Martine Monod

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Martine Monod
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 63 ans)
10e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Martine Marie Jeanne HuardVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, écrivaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
François Monod (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Marie Louise Schweitzer (d) (belle-mère)
Gustave Monod (beau-père)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Parti politique
Membre de
Femmes solidairesVoir et modifier les données sur Wikidata

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Martine Monod, née le dans le 16e arrondissement de Paris et décédée le dans le 10e arrondissement de Paris, est une journaliste et écrivaine française.

Biographie

Enfance

Martine Monod naît dans une famille aisée et de culture protestante. Son père travaille pour la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée[1].

Formation

Martine Monod passe avec succès une licence d’anglais à l’Université de la Sorbonne[1].

Engagement militant et journalisme

Martine Monod rejoint le Parti communiste français en mars 1945 puis l'Union des femmes françaises en 1947 et exerce quelques responsabilités pour ces deux organisations[1].

En 1950, par l’intermédiaire de Louis Aragon, elle travaille pour Ce Soir, puis pour Libération et Les Lettres françaises[1].

Dans le courant des années 1950, elle rejoint ensuite L'Humanité et L'Humanité Dimanche comme responsable du service politique de ce dernier[1].

À l'invitation de l'Union des femmes françaises, elle prend part à la journée internationale des femmes en mars 1952[2].

En 1955, elle écrit quelques romans[1].

En mars 1974, elle gagne le prix du reportage du Syndicat des journalistes et écrivains pour son reportage Deux ou trois choses que je sais de l’Union soviétique[1].

Son décès est annoncé dans l'Humanité le 23 octobre 1985[3] et dans Le Monde du lendemain[4].

Vie privée

Le , Martine Monod se marie avec François Monod dans le 16e arrondissement de Paris et ils ont trois enfants[1]. Son mari dirige à partir de 1955 les Éditeurs français réunis et meurt en 1961 d'une crise cardiaque[5].

Publications

Références

  1. a b c d e f g et h Marie-Cécile Bouju, « MONOD Martine », dans née HUARD Martine, Marie-Jeanne, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne).
  2. Union des femmes françaises, « Au rendez-vous du 9 mars 1952 », sur Gallica, France d'abord, (consulté le ).
  3. Les Dernières Lettres Des Pendus Du Procès Slansky, Prague, 1952, L'AGE D'HOMME (ISBN 978-2-8251-3400-9, lire en ligne).
  4. « Décès de Martine Monod », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Marie-Cécile Bouju, « MONOD François », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne).

Liens externes

  • Ressource relative à la vie publiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • « Maitron »
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