Laurent Albarracin

Cet article est une ébauche concernant un poète français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Laurent Albarracin
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
AngersVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Laurent Albarracin est un poète français, né le [1] à Angers.

Il a participé au Jardin ouvrier autour d'Ivar Ch'Vavar à la fin des années 1990. Aujourd'hui, il collabore au site Poezibao et tient une chronique de poésie sur le site de Pierre Campion[2]. Il anime les éditions Le Cadran ligné[3], et, avec Guillaume Condello et Pierre Vinclair, la revue Catastrophes.

Proche de Pierre Peuchmaurd, il lui a consacré un volume de la collection « Présence de la poésie » (Éditions des Vanneaux, 2011).

Publications

  • Les jardins nucléaires, L’Air de l’eau, 1998.
  • Le feu brûle, Atelier de l’Agneau, 2004.
  • De l’image, L’Attente, 2007[4].
  • Pierre Peuchmaurd, témoin élégant, Montréal, L'Oie de Cravan, 2007.
  • Cartes sur l’eau, Simili Sky, 2008.
  • Le Verre de l'eau et autres poèmes, le Corridor bleu, 2008.
  • Louis-François Delisse, Éditions des Vanneaux, 2009
  • Explication de la lumière, Dernier Télégramme, 2010
  • Pierre Peuchmaurd, présentation et choix des textes, Éditions des Vanneaux, coll. « Présence de la poésie », 2011
  • Le Secret secret, Flammarion, 2012.
  • Résolutions, L’Oie de Cravan, 2012.
  • Le Ruisseau, l'éclair, Rougerie, 2013.
  • Le Citron métabolique, Le Grand Os, 2013.
  • Les Oiseaux, photomontages de Maëlle de Coux, Éditions des Deux Corps, 2014.
  • Fabulaux, dessins de Diane de Bournazel, Éditions Al Manar, 2014.
  • Le Déluge ambigu, frontispice de Jean-Pierre Paraggio, Pierre Mainard éditeur, 2014
  • Herbe pour herbe, Dernier Télégramme, 2014
  • Mon étoile terreuse, dessins de Jean-Gilles Badaire, Circa 1924, 2014
  • Le Grand Chosier, le Corridor bleu, 2015.
  • Cela, Rougerie, 2016.
  • La Revanche des possibles, sur quatre dessins d'Emmanuel Boussuge, Recoins, 2016.
  • A, images de Jean-Pierre Paraggio, Le Réalgar, 2017.
  • Broussailles, peintures d'Aaron Clarke, L'Herbe qui tremble, 2017.
  • Plein vent (111 haïkus), Pierre Mainard éditeur, 2017.
  • Res Rerum, Arfuyen, 2018.
  • Pourquoi ? suivi de Natation, PURH, 2020.
  • L’Herbier lunatique, Rougerie, 2020.
  • Lectures : 2004-2015, Lurlure, 2020[5].
  • Contrebande, préface de Pierre Vinclair, Le Corridor bleu, Collection S!NG, 2021.
  • Manuel de Réisophie pratique, Arfuyen, 2022.
  • Si étant faux, L'étoile des limites, 2022.
  • Le Château qui flottait, préf. Emmanuel Boussuge, Lurlure, 2022.
  • Shifumi, frontispice de Yuka Matsui, Éditions Pierre Mainard, 2022.

Notes et références

  1. Albarracin, Laurent (1970-....), « BnF Catalogue général », sur catalogue.bnf.fr, 51017-befre (consulté le ).
  2. « Images de la poésie », chronique, sur A la littérature, (consulté le ).
  3. « Le Cadran ligné », sur Le Cadran ligné, (consulté le ).
  4. Joël Gayraud, « Ralentir image », Les Cahiers de l'Umbo, n° 10,‎
  5. « Poésie c’est pas crevé : lisez donc Albarracin ! », recension par Jean-Nicolas Clamanges, Fabula, vol. 23, n° 4, Notes de lecture, avril 2022 [1]

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Belgique
    • Israël
    • NUKAT
    • WorldCat
  • Le site de Pierre Campion.
  • Le Cadran ligné.
  • Article de l'Université de Liège.
  • Article de Jacques Josse sur Remue.net.
  • Article de 20 minutes et du Monde.
  • Revue Sur Zone, n° 45, juin 2018, consacré à Laurent Albarracin, Six sonnets.
  • icône décorative Portail de la poésie