Jules Quantin

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Jules Quantin
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
11e arrondissement de Paris
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Ernestine Schwind (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Marie Jules Quantin est un artiste peintre français né le à Paris et mort le dans le 11e arrondissement de Paris[1].

Biographie

Élève de Léon Cogniet, ce spécialiste de la peinture religieuse exposa au Salon de peinture de 1839 à 1876 et y obtint une médaille de 1re classe lors du Salon de 1861[2].

Son épouse, née Ernestine Schwind, fut également une artiste peintre appréciée.

Œuvres

  • Avallon, Yonne, église Saint-Martin, La Résurrection de la fille de Jaïre[3].
  • Aubervilliers, Saint-Louis adorant la couronne d'épines[2].
  • La Chapelle-Baloue, Creuse, église Notre-Dame-de-Lorette, quatre tableaux dont La Translation de Notre-Dame de Lorette[3] et un Saint-Joseph de son épouse Ernestine[4].
  • La Motte-Feuilly, Indre, chapelle du château de la Motte-Feuilly, reproduction de certains tableaux de l'église Saint-Germain-l'Auxerrois et de l'église Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux, vers 1870.
  • Laroquebrou, Cantal[5], église Saint-Martin, Sainte Madeleine en contemplation, 1845[3].
  • Paris, église Saint-Leu, Annonciation[6].
  • Paris, église Saint-Nicolas-des-Champs, chapelle Saint-Jean, La Cène, Salon de 1850, commande de l'État sur recommandation du député Bonnefons[2].
  • Paris, église Saint-Nicolas-des-Champs, Saint-Étienne allant au martyr, Salon de 1861[2].
  • Paris, église Notre-Dame-des-Blancs-Manteaux, La Présentation au temple, cantique de Siméon, Salon de 1867[2].
  • Paris, église Saint-Roch, peintures de la chapelle de l'Enfant prodigue[2].
  • Paris, église Saint-Germain-l'Auxerrois, chapelle des Saint-Apôtres, La Foi, L'Espérance et la Charité[2].
  • Paris, Saint-Vincent-de-Paul, Saint Iréné, Saint Paul, Saint Grégoire et Saint Stéphane[6].
  • Tours, Palais de Justice, Allégorie de la Justice, 1849, œuvre couverte par un badigeon, remise à jour en 1984[3].
  • Paris, Cour de Cassation (Palais de Justice), Portrait du Baron Mourre.

Notes

  1. Archives de Paris, État-civil numérisé du XIe arrondissement, V4E 6650, registre des décès de l’année 1884, acte no 477, vue 1/31 de la numérisation. Fils d'Étienne-Isidore Quantin et Marie-Jeanne Cléry, époux d'Ernestine Schwind, il meurt à son domicile situé au no 5 de la rue de Crussol.
  2. a b c d e f et g D'après le dictionnaire Bellier Auvray.
  3. a b c et d D'après l'Inventaire général.
  4. « Tableau Saint Joseph, église paroissiale Notre-Dame- de-Lorette, La Chapelle-Baloue », La Creuse n° 68,‎ juin - juillet - août 2015, p. 24 (lire en ligne)
  5. Bruno Foucart signale dans son ouvrage, (Le Renouveau de la peinture religieuse en France, 1800-1860, 1987) une Sainte Madeleine de Quantin à Roquebrune dans l'Hérault, il nous semble qu'il y a une confusion entre Laroquebrou et Roquebrune.
  6. a et b D'après le Thieme et Becker.

Liens externes

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    • Artists of the World Online
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