Jean Pichot-Duclos

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 Jean Pichot-Duclos
Jean Pichot-Duclos
Portrait du Général Pichot-Duclos.

Nom de naissance Jean Bernard René Marie Pichot-Duclos
Naissance
Nancy
Décès (à 75 ans)
La Tronche
Allégeance Drapeau de la France France
Arme Armée de terre
Grade Général de brigade
Années de service 1956 – 1992
Commandement Centre de formation interarmées au renseignement
Conflits Guerre d'Algérie
Distinctions Officier de la Légion d'honneur
Commandeur de l'ordre national du Mérite
Croix de la Valeur militaire
Croix du combattant
Autres fonctions Cofondateur de l'École de Guerre Économique
Directeur du département d'intelligence économique de Défense Conseil International
Famille Pichot-Duclos
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Jean Pichot-Duclos, né le à Nancy et mort le à La Tronche, est un général de brigade français.

Biographie

Jeunesse et études

Jean Pichot-Duclos naît le 14 mai 1935 à Nancy. Son père est le général de brigade René-Agis Pichot-Duclos (1874-1968). Il est le petit-fils du général de brigade Félix Pichot-Duclos (1821-1895).

Ancien élève du Prytanée national militaire, il est diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1958 (promotion général Laperrine).

Après son passage en prison militaire, il sort diplômé de École nationale des Langues orientales vivantes. Il suit également les cours de relations internationales de l'Institut d'études politiques de Paris[1].

Jean Pichot-Duclos est le beau-père du général d'armée André Lanata, chef d'état-major de l'Armée de l'air de 2015 à 2018. Il est également le père du capitaine[2] François Pichot-Duclos, officier du génie servant à la sécurité civile[3].

Parcours professionnel

Sorti d'application, il sert au 1er régiment étranger de parachutistes pendant la guerre d'Algérie, sous le commandement d'Hélie de Saint-Marc. Après avoir participé au putsch d'Alger, il est mis aux arrêts de forteresse, c'est-à-dire dans une prison militaire. Cet épisode ralentit son avancement mais il rejoint ensuite le corps des chasseurs alpins et commande le 27e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy.

Il occupe successivement les postes d'attaché militaire adjoint à l'ambassade de France en République tchèque, à Prague, d'officier de renseignement à l'état-major de la 1re armée à Strasbourg, et d'attaché de la défense à l'ambassade de France en Pologne, à Varsovie. En 1988, il prend le commandant de l'École interarmées du renseignement et des études linguistiques à Strasbourg pendant quatre ans. Son accès dans le corps des officiers généraux en 1991 aurait été retardé par la présidence de la République[4].

Après son départ du service actif en 1992, il entre au groupe Défense Conseil International, où il crée un service d'intelligence économique (INTELCO). Il a participé au rapport d'Henri Martre, Intelligence économique et stratégie des entreprises, publié par le Commissariat général au Plan.

En 1997, il crée l'École de guerre économique avec Christian Harbulot au sein de l'École supérieure libre des sciences commerciales appliquées.

Positionnement politique

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Le général Pichot-Duclos a brièvement aidé Charles Millon à développer dans le département de l'Isère son nouveau parti , "La Droite libérale-chrétienne", à la suite de son éviction en 1999 de la présidence du conseil régional de Rhône-Alpes. Après s'en être éloigné, il a publiquement assumé des convictions monarchistes. Il fut l'un des fondateurs et le président d'honneur de l'Alliance royale du Dauphiné, expérience locale de réunification des deux courants orléanistes que sont Restauration nationale et le Centre royaliste d'Action française[réf. nécessaire].

Ouvrages

  • La France doit dire non, Plon, (avec Christian Harbulot)
  • Les guerres secrètes de la mondialisation, coll. Renseignement et guerre secrète, Lavauzelle,

Distinctions

Décorations

Intitulés des décorations françaises

Notes et références

  1. « L'IE en deuil: le général Pichot-Duclos est mort », sur lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr (consulté le )
  2. [1]
  3. Administrator, « Le général de brigade Jean PICHOT- DUCLOS n'est plus », sur www.monsieur-legionnaire.org (consulté le )
  4. M.M., « Un grand bon homme nous a quittés », L'Action française 2000, no 2814,‎ , p. 5 (lire en ligne)

Liens externes

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