Jean Bouffet

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Jean Bouffet
Général Jean Bouffet
Biographie
Naissance
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LilleVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 57 ans)
NalinnesVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Passy (depuis ), Grave of Bouffet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Allégeance
Formation
Activité
Officier (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Parentèle
Autres informations
Arme
Grade militaire
Général de corps d'armée (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Conflits
Distinctions
Liste détaillée
Croix du Mérite militaire ()
Médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement ()
Croix de guerre 1914-1918 ()
Ordre du Service distingué ()
Officier de la Légion d'honneur‎ ()
Croix de guerre 1939-1945 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
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Vue de la sépulture.

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Jean Bouffet (1882-1940) est un général français, mort au cours des opérations de mai-juin 1940.

Biographie

Jeunesse et études

Né le , Jean, Gabriel, Ferdinand Bouffet est le fils du préfet Gabriel Alexis Bouffet et d'Anna Gabrielle Koechlin. En 1884, sa sœur Andrée, Isabelle, Suzanne naît (elle se mariera avec Jacques, Édouard Guerlain, industriel, propriétaire des parfumeries Guerlain). Sa mère meurt en 1890 alors qu'il est âgé de huit ans.

Jean fit ses études au lycée Janson-de-Sailly. Bachelier ès-lettres et ès-sciences, en 1900. Il entra à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion du Tchad)[2] dans la section de cavalerie à dix-neuf ans, porte en deuxième année les galons de maréchal des logis-chef, et finit deuxième de sa promotion en 1902 avec le grade de sous-lieutenant. Il choisira la cavalerie et suivra dès le le cours des sous-lieutenants élèves à l’École d'application de la cavalerie à Saumur, il sortira troisième.

  • Façade du lycée Janson-de-Sailly
    Façade du lycée Janson-de-Sailly
  • Façade de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr
    Façade de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr
  • Façade de l’École d'application de cavalerie
    Façade de l’École d'application de cavalerie

Temps de troupes

Il servira alors :

- le 1er régiment de dragons à partir du .

- le 27e régiment de dragons à partir du . En juillet 1908, il participera à la répression de la grève de Draveil-Vigneux ; à cette occasion il se verra attribuer la médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement.

Après quelques années passées dans ce régiment, il suit les cours de lieutenant d'instruction à l'École de cavalerie de Saumur et il finira premier avec la mention exceptionnelle "Parfaitement bien".

Entre-temps, il suivra le premier cours des officiers à l'École d'application pour le tir de l'infanterie du Camp du Ruchard en 1909. Le , il recevra un témoignage de satisfaction du Ministre en reconnaissance de son zèle et de son travail et de ses excellents résultats qu’il a obtenus à la suite du cours de tir qu’il a suivi du 11 janvier au à l’école du Ruchard.

- le 5e régiment de chasseurs à cheval à partir du où il est promu capitaine.

- le 21e régiment de chasseurs à cheval à partir du .

Il est admis en 1913 à l'École supérieure de guerre et il obtiendra son brevet d'état-major.

  • Insigne du 1er régiment de dragons
    Insigne du 1er régiment de dragons
  • Insigne du 5e régiment de chasseurs à cheval
    Insigne du 5e régiment de chasseurs à cheval
  • Façade de l’École militaire (École de Guerre)
    Façade de l’École militaire (École de Guerre)

Première Guerre mondiale

En État-Major

Il servira les États-majors :
- de la 5e division de cavalerie (3e bureau[3]) à partir du .

Ordre n° 2 de la Division de Cavalerie Provisoire, du 4 septembre 1914
"A été sur le terrain, un précieux auxiliaire du Commandement. A, dans des circonstances très difficiles, assuré avec la plus grande énergie et le plus grand dévouement, le ravitaillement de la Division provisoire et suppléé au manque d’organisation préalable de celle-ci." Signé: Général Raoul de Cornulier-Lucinière
 

- du 2e corps de cavalerie (3e bureau) à partir du .

Ordre n° 77 du 2e Corps de Cavalerie, du 20 avril 1915
"Officier de première valeur. A rempli pendant les opérations sur la Lys, pendant la bataille de l’Yser, et pendant les combats de Nieuport, les fonctions de Chef du 3e Bureau, avec autant de dévouement que d’intelligence, apportant dans toutes les missions qui lui ont été confiées, une initiative réfléchie et une énergie inébranlable." Signé: Général Antoine de Mitry
 

- de la Ire armée française (3e bureau) à partir du .

Ordre n° 273 de la 1re Armée, du 13 octobre 1915[4],[5]
"Excellent officier, d'un sens tactique très sûr et d'un esprit observateur très développé. Faisant partie d’un État-major d’Armée, y rend les meilleurs services et fait preuve de la plus intelligente activité, assurant avec beaucoup d’énergie et de courage, de fréquentes reconnaissance en première ligne." Signé: Général Pierre Auguste Roques
 

- du Grand quartier général (1er bureau[6]) à partir du .

- du 1er corps d'armée (3e bureau) à partir du .

- du Groupe d'armées de réserve (3e bureau) à partir du .

- du Groupe d'armées du centre (3e bureau) à partir du .

Sur le Front

Désireux de servir dans la troupe, il regagne le front militaire le avec le 9e régiment de cuirassiers à pied. Ensuite, il est affecté au 106e régiment d'infanterie de ligne le , il y commandera le 2e bataillon. Lors de la Bataille de Montdidier en (Offensive Michael), son bataillon sera cité à l'ordre de la Ire Armée.

Ordre n°8 de la 1re Armée, du 15 avril 1918[7]

"Est cité à l'ordre de l'Armée, le 2e Bataillon du 106e R.I.

" Au cours des six jours de durs combats, a sous le commandement du Capitaine Bouffet, affirmé de nouveau ses brillantes qualités d'endurance et de ténacité, jeté dans la bataille, après des étapes longues et pénibles et chargé de tenir une position, a résisté jusqu’à la dernière limite aux efforts violents et répétés de l'ennemi, infligeant à celui -ci des pertes cruelles, ne s'est retiré en manœuvrant qu'au moment où il allait être débordé par des masses toujours plus nombreuses de l'adversaire et après avoir épuisé toutes ses munitions, deux de ses sections de mitrailleuses se sacrifiant pour assurer le repli des autres éléments." Signé: Général Marie-Eugène Debeney
 

Le il est nommé chef de bataillon (T.T.).

Au cours de la Grande Guerre, il a mérité la Croix de guerre 1914-1918 avec cinq citations et les insignes de chevalier de la Légion d'honneur tant pour sa haute compétence que pour son courage au feu.

Ordre n°6763 "D", du 11 avril 1918[8]

Citation accompagnant l’inscription au tableau spécial de la Légion d’honneur

"Très brillant officier. A commandé son bataillon dans des circonstances extrêmement difficiles, montrant au cours de rudes combats, où sa maîtrise s’est affirmée, de belles qualités de commandement, d’énergie, de courage et de sang froid. A tenu contre des forces très supérieures et sous un feu violent, a su dégager son bataillon en disputant le terrain pied à pied et en infligeant à l’adversaire des pertes élevées. Trois citations."
 
  • Insigne du 9e régiment de cuirassiers
    Insigne du 9e régiment de cuirassiers
  • Insigne du 106e régiment d’infanterie de ligne
    Insigne du 106e régiment d’infanterie de ligne
  • Insignes de chevalier de la Légion d'honneur
    Insignes de chevalier de la Légion d'honneur
  • Croix de Guerre 1914-1918
    Croix de Guerre 1914-1918

Période de responsabilité en état-major

Il est placé hors-cadre et il servira les états-majors :

  • du détachement des armées du Nord à partir du , où il sera promu chef de bataillon (T.D.) le .
  • de la IXe armée française à partir du .
  • de la 1re division d'infanterie en tant que chef à partir du .
  • de la VIe armée française - armée française de Belgique - (3e bureau) à partir du .
  • de la 11e division d'infanterie en tant que chef à partir du .
  • de l'Armée française (section d'orient) à partir du puis (3e bureau) à partir du où il est promu lieutenant-colonel le .
  • du général Pierre Georges Duport (membre du conseil supérieur de la guerre) à partir du .
  • du maréchal Philippe Pétain (vice-président du conseil supérieur de la guerre) à partir du .
  • Insigne de la 1re division d'infanterie
    Insigne de la 1re division d'infanterie
  • Insigne de la 11e division d'infanterie
    Insigne de la 11e division d'infanterie

Commandement en unité opérationnelle et hautes responsabilités en état-major

Il reçoit alors le commandement du 67e régiment d'infanterie de ligne le où il est promu colonel. Le , il est promu officier de la Légion d'honneur.

En 1932, il suit les cours du centre d'études tactiques d'artillerie de Metz. Après un stage au centre des hautes études militaires, il entre à l'état-major particulier de l'infanterie et devient chef d'état-major de l'Inspection générale de l'infanterie du au .

Nommé général de brigade le , il est affecté à l'état-major général de l'armée à la disposition d'un général de division membre du Conseil supérieur de la guerre jusqu'au . En septembre 1936, il fut envoyé en tant qu'observateur aux manœuvres suisses.

Puis il prend, en 1936, le commandement de la 14e division d'infanterie de Mulhouse, qu'il conservera lors de l'engagement de cette grande unité en Sarre en 1939. Il est promu général de division le . Le général Jean de Lattre de Tassigny le remplace le .

  • Insigne du 67e régiment d'infanterie
    Insigne du 67e régiment d'infanterie
  • Insigne de la 14e division d'infanterie
    Insigne de la 14e division d'infanterie
  • Insignes d'officier de la Légion d'honneur
    Insignes d'officier de la Légion d'honneur

Seconde Guerre mondiale

Il commande le 2e corps d'armée à partir de où il est élevé aux rang et appellation de général de corps d'armée, le .

Le 2e corps d'armée appartient à la IXe armée[9] (général Corap), dont il constitue l'aile gauche, lorsque, le , elle pénètre en Belgique. Conformément au plan Dyle, le général Bouffet est chargé de la défense de la Meuse de Namur à Anhée et doit faire face aux difficiles problèmes posés, dès le 12 au soir, par les infiltrations de l'infanterie de la 5e Panzer-Division du général Max von Hartlieb-Walsporn au niveau de l'île de Houx, à la limite des zones de responsabilités des 2e corps d'armée et 11e corps d'armée, ce secteur n'est pas encore occupé. En cette circonstance, le général Bouffet fait preuve d'une activité intense, se portant à tous les points critiques, ne donnant pas d'ordres sans être venu sur place juger la situation et donnant l'exemple du calme et de la lucidité.

Article connexe : Bataille de Dinant (1940).

Le au matin, le 2e corps d'armée reçoit l'ordre de se replier. Jean Bouffet définit alors un itinéraire de repli qui passe au sud de Charleroi. À h, il ordonne au colonel Marteau, commandant la 4e division légère de cavalerie, de replier ses unités par les villages d'Acoz, de Gerpinnes, de Tarcienne, de Gourdinne et de Thy-le-Château.

Le poste de commandement avancé de la division s'installe au carrefour de Nalinnes Bultia, au sud de Charleroi, où le 2e corps d'armée établit également le sien. D'autre part, la 14e Brigade Légère Mécanisée et le 2e Bataillon du 14e régiment de dragons installent respectivement leurs postes de commandement à Nalinnes-Centre dans les bâtiments de la maison communale et au lieu-dit "Pairain".

L'installation de ces différents postes de commandement est terminée dès 14 h. Les importantes colonnes de véhicules qui stationnent près de ces postes de commandement sont repérées par l’aviation ennemie et, vers 15 h, les stukas commencent les bombardements et les mitraillades. Sans se soucier des bombes qui éclatent autour de lui, le général Bouffet continue à donner ses ordres. C'est alors qu'il tombe mortellement blessé.

Le capitaine Durant de Saint-André, du 3e bureau du 2e corps d'armée, décrit l'attaque au Bultia dans les termes suivants :

« …Vagues successives de groupes de trois avions volant bas, attaques en piqué avec lâchage de chapelets de quatre bombes et rafales de mitrailleuses… Le PC fut bouleversé par les bombes et de nombreux cadavres ou blessés gisaient dans le verger et le long de la route ; parmi eux, le commandant Janet, grièvement blessé, et le général Bouffet, couché au pied d’un arbre, apparemment tué par le souffle d’une bombe mais de plus transpercé par un certain nombre de balles de mitrailleuses… L'attaque aérienne se prolongea jusque 17 h 30, quelques minutes seulement d'interruption séparant les vagues d'avions successives. Par moments, soixante appareils étaient visibles à la fois… »

Le lieutenant Stein (Ier G.R.C.A.) a recueilli le corps du Général puis l'a amené au Quesnoy, où il a reçu les honneurs de la sépulture au début de l'après-midi du , peu de temps avant que les Allemands n'y entrent.

Hommages posthumes

Le général Bouffet fait partie des treize officiers généraux français morts au cours des opérations de mai-juin 1940.

Il reçoit la croix de guerre 1939-1945 à titre posthume avec palme.

Ordre n° 36-C. Citation à l’ordre de l’Armée du 28 juin 1940[10]
"Officier général du plus haut mérite, qui a déjà fait largement ses preuves dans la précédente guerre. Homme de devoir dans la plus large acception du terme, aussi exigeant pour lui-même que pour les autres, a fait preuve du 11 au 16 mai d’une étonnante activité. Montrant à tous les points critiques sa haute silhouette impavide, tout de calme, de belle et froide dignité, donnant sur place les ordres nécessaires, réconfortants ses subordonnés par son magnifique courage et sa lucide intelligence des situations successives. Tombé glorieusement, debout et dédaigneux de s'abriter sous le tir des avions ennemis, dans l'après-midi du 16 mai 1940."
 

Le journal Paris-soir dimanche du samedi , annonce la mort du général Jean Bouffet avec un article d'Henry Bordeaux (Académie française) où il relate la nuit du (Henry Bordeaux et Jean Bouffet étaient tous deux à l'état-major du 2e corps de cavalerie en 1915) "Le Général Bouffet tué debout à son poste de commandement".

Il repose au cimetière de Passy (15e division) dans le caveau familial depuis 1945.

Louis Aragon dans Les Communistes (cinquième roman du cycle Le Monde réel) relate l'attaque du PC et la mort du général Bouffet: "Ici, les avions allemands anéantirent, l’instant de crier, tout un état-major, celui du 2e Corps ; trente officiers, dont le général Bouffet, une quarantaine de sous-officiers et de soldats".

Le , à Ham-sur-Heure-Nalinnes, une stèle "À la mémoire du général Jean Bouffet, des officiers, sous-officiers et soldats du 2e Corps de la IXe Armée française morts sur le territoire de Ham-sur-Heure-Nalinnes, le , pour la défense de nos libertés" a été inaugurée par le sénateur Dominique Tilmans[11].

  • Croix de Guerre 1939-1945
    Croix de Guerre 1939-1945
  • Stèle du caveau de la famille Bouffet au cimetière de Passy
    Stèle du caveau de la famille Bouffet au cimetière de Passy
  • Monument aux morts du 16 mai 1940 à Ham-sur-Heure-Nalinnes
    Monument aux morts du à Ham-sur-Heure-Nalinnes

Décorations

En grande tenue de général de brigade avec ses décorations et les aiguillettes d'état-major

Placard

Intitulé

Décorations françaises

Ordres étrangers

Grades

École spéciale militaire de Saint-Cyr

  • Élève de 2e classe - 30/10/1900
  • Élève de 1re classe - 02/04/1901
  • Brigadier - 24/08/1901
  • Maréchal des logis-chef - 05/11/1901

Officier subalterne

  • Sous-lieutenant - 01/10/1902
  • Lieutenant - 01/10/1904
  • Capitaine - 24/06/1912

Officier supérieur

  • Chef de bataillon à TT - 07/04/1918
  • Chef de bataillon à TD - 28/06/1918
  • Lieutenant-colonel - 25/03/1926
  • Colonel - 24/06/1930

Officier général

  • Général de brigade - 12/12/1933
  • Général de division - 19 /06/1937
  • Général de corps d'armée - 15/01/1940

Famille

Jean, Gabriel épousa le [12] (sur autorisation du Général gouverneur militaire de Paris en date du ) Anne, Louise Laffon de Ladebat (1886-1971), fille du général Édouard Laffon de Ladebat, ils eurent quatre enfants:

  1. Jacqueline, Jeanne (1911-1974), qui se maria à Michel Weisgerber administrateur civil (chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, chevalier du Mérite agricole);
  2. Jean-René (1914-1941), ayant fait l'École polytechnique (X 1934), officier dans l'Armée française, lieutenant d'artillerie;
  3. Roger, Pierre (1918-2001), ayant fait l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion de Marne et Verdun), officier dans l'Armée française, combattant de la Seconde Guerre mondiale (il fut interné dans l'Oflag XVII-A), de Madagascar et de l'Algérie ; général de brigade (officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945, Croix de guerre des TOE, Croix de la Valeur militaire, Médaille coloniale...);
  4. Gilberte, Gabrielle (1920-1938).

Sources

  • Ressources relatives aux militairesVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Mémoire des hommes
    • TracesOfWar
  • Patrick Cabanel, « Jean Gabriel Bouffet », in Patrick Cabanel et André Encrevé (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 1 : A-C, Les Éditions de Paris Max Chaleil, Paris, 2015, p. 415-416 (ISBN 978-2846211901)
  • Biographie des généraux de la Seconde Guerre mondiale (en)
  • Historique de la 85e promotion (1900-1902) de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr, promotion du Tchad (site de La Saint-Cyrienne)
  • Liste des saint-cyriens mort pour la France (Musée du Souvenir - École spéciale militaire de Saint-Cyr)
  • Musée des officiers généraux français des armes et des services (Musée des étoiles)
  • Biographie des anciens élèves de l’École Supérieure de Guerre
  • Site du ministère de la défense des militaires décédés durant la Seconde Guerre mondiale (Base Mémoires des hommes)
  • Site du ministère de la défense des monuments aux morts (Base Chemins de mémoire)
  • Tombeau des Bouffet au cimetière de Passy
  • Côte SHD : 13 Yd 564

Notes et références

  1. « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf »
  2. Liste de Saint-Cyriens par promotion
  3. 3e Bureau : opérations
  4. Journal officiel de la République (25/11/1915)
  5. Extrait du journal L’Illustration (05/08/1916)
  6. 1er Bureau : effectifs
  7. Citations du 106e R.I.lors de la Grande Guerre
  8. Journal officiel de la République (13/06/1918)
  9. IXe Armée Ordre de bataille au 10/05/1940
  10. Journal officiel de la République (10/10/1941)
  11. Site du Sénateur Dominique Tilmans
  12. Tableaux généalogiques de la famille Koechlin, 1460-1914

Bibliographie

  • Revue historique des Armées, 1979, no 4, pp. 230-231
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