Frank Godwin

Pour les articles homonymes, voir Godwin.

Cet article est une ébauche concernant un auteur américain de bande dessinée.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Frank Godwin

Biographie
Naissance	20 octobre 1889 Washington
Décès	5 août 1959 (à 69 ans)
Nationalité	américaine
Formation	Art Students League of New York
Activités	Auteur de bande dessinée, illustrateur
Père	Harry Post Godwin (en)

Œuvres principales
Connie, Jo Lumière

modifier - modifier le code - modifier Wikidata

Frank Godwin (de son vrai nom Francis Godwin) né le 20 octobre 1889 à Washington et mort le 5 août 1959 est un auteur de bande dessinée américain surtout connu pour ses séries Connie et Jo Lumière, ainsi que ses illustrations (livres, publicité, etc.)^[1].

Biographie

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

Série de bande dessinée

En 1938, il remplace Kemp Starrett sur la bande dessinée officielle des boy-scout américains, Roy Powers, Eagle Scout publiée dans Hop-Là! sous le titre La Patrouille des Aigles. Les séries les plus connus de l'auteur sont Connie (parfois appelée Cora et Diane Détective en France) de 1927 à 1944 et Jo Lumière (Rusty Riley) de 1948 à 1959^[1], séries qui ont un petit succès en France.

Style

Son dessin très réaliste inspiré par la gravure classique le distinguait de la plupart de ses confrères^[1]. En Belgique, André Franquin et Morris furent de grands admirateurs de Godwin^[2].

Notes et références

↑ ^{a b et c} Gaumer 2010.
↑ « À l’époque de La mauvaise tête ou du Repaire de la Murène, Franquin a vraiment pensé à lancer une bande dessinée réaliste. Sa référence ultime dans ce domaine était Frank Godwin, le dessinateur de “Jo Lumière”, qui était publié dans Spirou. C’était selon lui le dessin réaliste le plus “chic” qui soit. […] Il avait ajouté que Morris aussi ne jurait que par lui. J’ai alors vraiment compris quelle importance ce dessinateur avait eue dans l’atelier de Waterloo [la maison de Jijé, où celui-ci avait accueilli les jeunes Franquin et Morris]. » (Témoignage d'Al Séverin, cité par Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault dans La Véritable Histoire de Spirou, tome 2 : 1947-1955, éditions Dupuis, 2016, p. 260.