Francesco Gonin
Cet article est une ébauche concernant un peintre italien.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Pour les articles homonymes, voir Gonin.
Naissance | Turin |
---|---|
Décès | (à 80 ans) Javein |
Période d'activité | - |
Nationalité | italienne ( - |
Activités | Peintre, lithographe, graveur |
Formation | Accademia Albertina |
Lieu de travail | Turin |
Mécène | Oddone Eugenio Maria de Savoie |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Francesco Gonin (né le à Turin et mort le à Giaveno) est un peintre italien du XIXe siècle.
Biographie
François Gonin se perfectionna dans l'art de la fresque sous Luigi Vacca, après avoir commencé ses premières études, vers 1820, à l'école néo-classique du niçois Jean-Baptiste Biscarra, alors directeur de l'académie des Beaux Arts. En 1829 , il entra, dans la famille de son maître Vacca en épousant une de ses filles.
En 1837, il lui succéda dans la charge de premier scénographe du Théâtre Royal.
De 1840 à 1841 en collaboration avec Carlo Bellosio, Gonin a peint au Château royal de Racconigi.
En 1844, il décora le Théâtre de la Sépia, et l'année suivante, le Teatro Carignano de Turin. La restauration de ce dernier, en 1926, a été effectué avec le plus grand respect des décorations de Gonin ainsi que quelques palais.
De nombreuses églises de Turin ont reçu des fresques de Gonin : celle des Saints Martyrs, dont les voûtes ont été peintes à la fresque par Vacca et Gonin ; celle de St.Maxime, de S, Damace, et l’église de L'annonciation (Celle-ci a été fermée au culte afin d'être reconstruite plus vaste).
Parmi les œuvres de chevalet exposées, on peut distinguer : le duel entre Achille et Hector, la défense du corps de Patrocle (1842), la reddition de la citadelle aux Français (1843), la mort du duc de Savoie Charles Emmanuel II (1853), Christophe Colomb en prison (1858). Le tableau « La Crucifixion » à L'abbaye de Hautes Combes dans le transept sud, la mise au tombeau et la résurrection de Lazare, et les 7 fresques du chœur au maître autel.
Il n'y a pas de genre de peinture que Gonin n'ait tenté ; scénographe, décorateur de palais, fresquiste d'églises, aquarelliste aristocratique, miniaturiste, lithographe, aquafortiste, il a laissé des tableaux historiques, des tableaux de genre, des natures mortes, des caricatures, des illustrations de livres, des projets de meubles, des tapisseries[1]...
Œuvres
- Portrait de Massimo d'Azeglio,
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Artists of the World Online
- Bénézit
- Bridgeman Art Library
- British Museum
- Grove Art Online
- MutualArt
- RKDartists
- Union List of Artist Names
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Deutsche Biographie
- Dizionario biografico degli italiani
- Enciclopedia italiana
- Enciclopedia De Agostini
- Treccani
- Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Italie
- CiNii
- Belgique
- Pays-Bas
- NUKAT
- Vatican
- Australie
- Norvège
- Tchéquie
- Portugal
- WorldCat
Notes et références
- ↑ Extrait des Archives de l'Abbaye de Haute Combes
- Portail de la peinture
- Portail du néo-classicisme
- Portail des arts
- Portail du XIXe siècle
- Portail de l’Italie