Delphine Diallo

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Delphine Diallo
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Biographie
Naissance
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ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
sénégalaise
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activité
PhotographeVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Site web
www.delphinediallo.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
OkayAfrica 100 Women ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Delphine Diallo, ou Delphine Diaw Diallo, née en 1977 à Paris, est une photographe franco-sénégalaise. Installée dans un premier temps à Paris, elle vit et travaille ensuite à New York.

Biographie

Née en 1977 d’un père sénégalais et d’une mère française et peintre, elle fait le choix d’un parcours artistique et est diplômée en 1999 de l’Académie Charpentier, catégorie arts visuels[1],[2].

Elle travaille ensuite durant sept ans dans l’industrie musicale, puis se lance dans le domaine de la photographie.

Effectuant un retour à une partie de ses origines, elle s’installe à Saint-Louis-du-Sénégal, d’où son père est originaire. Elle y crée un studio photographique et commence en photographiant les membres de sa famille et réalisant une série baptisée « Renaissance »[3]. Le studio est baptisé Magic, discret hommage au photographe malien Malick Sidibé, dont elle affirme l’influence sur ses premiers travaux, et à son fameux studio Malick.

En 2008, elle déménage à nouveau et s’installe à New York. Elle rencontre Peter Beard. Intéressé par sa créativité, celui-ci lui propose de collaborer pour la réalisation du calendrier Pirelli au Botswana[4],[5].

En 2012, elle est mentionnée comme l'un des 26 meilleurs photographes émergents de l'ICP, et par le Smithsonian Magazine comme une des stars émergentes de la photographie, puis en 2013, par PDN, comme l'un des 30 photographes nouveaux et émergents à surveiller[6],[4].

Ses tirages se négocient à New York autour de 2 500 dollars.

Expositions (sélection)

Bibliographie

  • Fisheye, N° 21, novembre-, Couverture, p. 37

Références

  1. « Delphine Diallo », Photoquai,‎ (lire en ligne)
  2. Maxime Delcourt, « Delphine Diallo », Fisheye,‎ , p. 37
  3. a et b « Photoquai 2015 : We are family », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  4. a et b (en) « Delphine Diallo », Life Force Magazine,‎ (lire en ligne)
  5. (en) « The Masked Expressions of Delphine Diallo », Creators,‎ (lire en ligne)
  6. (en) Elizabeth Avedon, « New York Times Portfolio Review: The Photographers », The Eye of Photography,‎ (lire en ligne)
  7. « La Biennale Dak'Art 2012 finit en beauté au Sénégal », sur Allafrica
  8. « Femme photographe en exposition à Onomo », Wak Hart,‎ (lire en ligne)
  9. (en) « Photos That Celebrate — and Challenge — Feminine Ideals », T Magazine,‎ (lire en ligne)
  10. (en) Tom Seymour, « African Portraiture at the Unseen 2016 Fair and Festival », British Journal of Photography,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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