CrowdSec

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CrowdSec
Création 2019
Forme juridique Société par actions simplifiée
Siège social Montrouge
Drapeau de la France France
Actionnaires CrowdSec SMR (SPV), Breega, Supernova Invest, Louis Christophe Laurent
Activité Programmation informatique (d)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 29
SIREN 880140496[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.crowdsec.netVoir et modifier les données sur Wikidata
modifier - modifier le code - voir Wikidata Consultez la documentation du modèle

Crowdsec est une startup française qui édite un logiciel open source d’identification et de partage d’adresses IP malveillantes[2],[3], fondée en décembre 2019[4].

Fonctionnement

Le système est participatif car si une adresse IP exhibant un comportement agressif est repérée par un membre du réseau d’utilisateurs, son signalement est confronté à l’ensemble du réseau pour approbation. Si un nombre suffisant de participants de confiance reporte le même comportement de la part de cette IP, celle-ci est alors intégrée dans une liste de blocage distribuée à tous les participants. L’IP est ensuite enlevée de cette liste quand les participants du réseau arrêtent de la reporter pendant une période de temps suffisante[5].

Licence

Le moteur de sécurité qui analyse les logs et répond aux menaces est open source et distribué sous licence MIT. Le logiciel est libre d’usage et la société se rémunère sur la vente des signaux à des clients non participants au réseau de détection ainsi qu’en apportant des services complémentaires orientés vers les grands comptes[6].

Histoire

En octobre 2021, lors de sa première participation aux Assises de la Sécurité, CrowdSec a présenté sa suite de sécurité open source. Cette suite comprend un système de détection d'intrusion (IDS) sous licence MIT, ainsi qu'un système de prévention d'intrusion (IPS) gratuit qui permet de gérer les attaques en fonction des besoins métiers spécifiques de chaque entreprise. En outre, la suite comprend également une intelligence collective sur les menaces (CTI) visant à protéger tous les utilisateurs[7].

En 2021, CrowdSec a repéré plus de 13 0000 adresses IP[6] et est utilisé dans plus de 90 pays.

Levées de fonds

En octobre 2020, Crowdsec réalise sa première levée de fonds de 1.5 millions d’euros, réalisée auprès de business angels[8],[9].

En mai 2021, la startup CrowdSec lève 4 millions d’euros pour développer sa plateforme[10].

En octobre 2022, Crowdsec lève 14 millions d’euros[11] & Louis Christophe Laurent (BA)[12].

Références

  1. a et b Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. « CrowdSec, le logiciel collaboratif qui lutte contre les cybermenaces », sur Les Echos, (consulté le )
  3. Mourad Krim, « CrowdSec Engine 1.5, la solution de cybersécurité communautaire fournit des informations contextuelles sur les menaces », sur IT SOCIAL, (consulté le )
  4. « CrowdSec : une approche collective de la protection contre les menaces », sur LeMagIT (consulté le )
  5. « Le français CrowdSec tente une protection cyber collaborative », sur LEFIGARO, (consulté le )
  6. a et b « Crowdsec, un outil de prévention d'intrusions, conçu pour protéger les serveurs, les services et les conteneurs, présenté comme une version modernisée et collaborative de Fail2Ban », Developpez.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. « Philippe Humeau, Président de CrowdSec : Notre approche est que l'on est fort tous ensemble », sur Global Security Mag Online, (consulté le ).
  8. « CrowdSec veut devenir le « Waze » de la cybersécurité », sur Les Echos, (consulté le )
  9. « Lutte contre les IP malveillantes : CrowdSec lève 1,5 M€ - Le Monde Informatique », sur LeMondeInformatique, (consulté le )
  10. Alice Vitard, « La start-up CrowdSec lève 4 millions d'euros pour déployer son firewall communautaire », L'Usine Digitale,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Crowdsec décolle avec une levée de fonds de 14 M€ - Le Monde Informatique », sur LeMondeInformatique, (consulté le )
  12. Guillaume Goudou, « CrowdSec, le Waze de la cybersécurité, lève 14 millions et s'internationalise », sur Business Cool, (consulté le )
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