Centre national de génotypage

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Centre National de Recherche en Génomique Humaine (CNRGH)

Cadre
Type	Établissement médical, laboratoire
Domaine d'activité	Génétique
Siège	Génopole d'Évry (Essonne)
Pays	France
Coordonnées	48° 37′ 27″ N, 2° 26′ 19″ E

Organisation
Direction	Jean-François Deleuze (2012-2021)
Affiliation	CEA
Site web	www.cng.fr

Localisation sur la carte d’Île-de-France

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Le Centre National de Recherche en Génomique Humaine (CNRGH) est un centre de recherche chargé du développement et de l'application du génotypage et des technologies génomiques liées à cette activité, notamment pour l'identification de gènes morbides impliqués dans les maladies héréditaires. Situé sur la Genopole d'Évry avec des laboratoires de recherche académique, des entreprises de biotechnologies et l'Université d'Évry, il est actuellement dirigé par Jean-François Deleuze.

Le Centre National de Recherche en Génomique Humaine opère actuellement la plus grosse plate-forme de séquençage en France, et parmi les cinq plus grosses en Europe. Grâce à cette capacité de séquençage et à son savoir-faire, le CNRGH sera fortement impliqué dans le plan "France Médecine Génomique 2025^[1]" annoncé par le Premier ministre Manuel Valls en juin 2016.

Histoire

En octobre 1998, le groupement d’intérêt public (GIP) Centre National de Génotypage reprend les activités génomiques du Généthon qui, avec l’aide de l’AFM (Association française contre les myopathies), a été un pionnier des études génomiques en France.

En 2002, le CNG devient partie du nouveau GIP Consortium National de Recherche en Génomique (CNRG). Les autres membres du CNRG sont l’INSERM, le CNRS, l’INRA, le CEA et la société FIST (France innovation scientifique et transfert, filiale de transfert de technologie du CNRS).

Le 1^er mai 2007 les deux plates-formes nationales de génomique, le Génoscope - Centre national de séquençage (CNS) et le Centre national de génotypage (CNG) sont intégrées au CEA et constituent l'Institut de Génomique au sein de la Direction des Sciences du Vivant.

En 2017, le CNG devient le Centre National de Recherche en Génomique Humaine (CNRGH), un des deux départements de l'Institut de Biologie François Jacob (IBFJ), l'autre département étant le Génoscope-CNS.

Notes et références

↑ Inserm, « Plan France Médecine Génomique 2025 », 2025,‎ 30 novembre 2016 (lire en ligne, consulté le 30 novembre 2016)

Articles connectes

Génopole
Technopole

v · m Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives
Directions	Direction des énergies (DES) Direction des applications militaires (DAM) Direction de la recherche technologique (DRT/CEA Tech) Direction de la recherche fondamentale (DRF)
Centres	Fontenay-aux-Roses Saclay Marcoule Grenoble Cadarache Bruyères-le-Châtel Valduc Le Ripault Le Barp Gramat Le Bouchet (1946-1971) Vaujours (1955-1997) Moronvilliers (1957-2014) Limeil (1959-1999) Miramas (1962-1976) Mahina (1963-1975)
Filiales	GIE Intra COMUF (1958-1972) SICN (1961-1972) Technicatome (1972-2001) Eurodif (1973-2001) Sofidif (1975-1979) Cogema (1976-2001) CEA-I (1983-2001)
Institut / Laboratoire	IRESNE ISAS ISEC I-Tésé LITEN LETI LIST (en) IRIG Jacob (CNRGH ; Genoscope) Joliot BIAM IPhT IRaMis IRFM IRFU (LARSIM) INSTN IPSN (1976-2002) ANDRA (1979-1991) AFNI (2008-2019)
Collaborations	ARC-Nucléart Clinatec (CHUGA) GANIL (IN2P3) INAC (UGA) INES (USMB) LCTS (CNRS-UB) LSCE (CNRS-UVSQ) LULI (CNRS-X)
Outils	Airix Laser Mégajoule Tore Supra Proserpine (1958-1961) Ulysse (1961-2007) Rapsodie (1967-1978) TFR (1973-1986) Phénix (1973-2010)
Hauts-commissaires	Frédéric Joliot-Curie (1945-1950) Francis Perrin (1950-1970) Jacques Yvon (1970-1975) Jean Teillac (1975-1993) Robert Dautray (1993-1998) René Pellat (1998-2003) Bernard Bigot (2003-2009) Catherine Cesarsky (2009-2012) Yves Bréchet (2012-2018) Patrick Landais (depuis 2019)