Antoine de Castellane

Antoine de Castellane
Fonction
Député du Cantal
-
Titre de noblesse
Marquis de Castellane
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
7e arrondissement de Paris
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Famille
Maison de CastellaneVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Henri de CastellaneVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Fratrie
Marie de CastellaneVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Madeleine Anne Marie Le Clerc de Juigné (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Boni de Castellane
Jean de Castellane
Stanislas de CastellaneVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique
Union des droitesVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Antoine de Castellane-Novejean, 3e marquis de Castellane, né le à Paris et mort le à Paris, est un aristocrate français qui fut député du Cantal et père du fameux élégant Boni de Castellane.

Biographie

Boniface Antoine de Castellane-Novejean est issu d'une maison d'ancien lignage, la famille de Castellane.

Il est le fils du marquis Henri Charles Louis Boniface de Castellane (fils du maréchal de Castellane), député du Cantal, et de son épouse, née Pauline de Talleyrand.

Il suit ses études au petit séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin, dirigé alors par Mgr Félix Dupanloup, évêque d'Orléans[1].

Antoine de Castellane épouse à Paris, le , Madeleine de Juigné qui lui donne quatre fils:

Le marquis de Castellane demeurait dans son château de Juigné-sur-Sarthe, en dehors des mois où il était à Paris. Pendant la guerre de 1870, il servit sous les ordres du maréchal Bazaine, il fut enfermé avec celui-ci dans Metz tandis que le prince Frédéric-Charles de Prusse, un de ses cousins par alliance, célébrait avec faste l'instauration de l'Empire Allemand dans le château de Rochecote qui appartenait à la mère du marquis.

Secrétaire de l'Assemblée, Il prend une part active aux travaux et repousse les lois constitutionnelles.

Sources

Notes et références

  1. Émile Huet, Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin, Orléans, Paul Pigelet & Fils, 1913, 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing

Liens externes

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