Andreas Franz Wilhelm Schimper : Biographie, Notes et références, Voir aussi Wikipédia, l'encyclopédie libre

Andreas Franz Wilhelm Schimper

Cet article est une ébauche concernant un zoologiste ou un botaniste.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Pour les articles homonymes, voir Schimper.

Andreas Franz Wilhelm Schimper

Biographie
Naissance	12 mai 1856 Strasbourg
Décès	9 septembre 1901 (à 45 ans) Bâle
Nationalités	allemande française
Formation	Université de Strasbourg
Activités	Botaniste, professeur d'université, écologue
Père	Guillaume Philippe Schimper

Autres informations
A travaillé pour	Université rhénane Frédéric-Guillaume de Bonn Université de Bâle
Membre de	Académie Léopoldine (1892)
Abréviation en botanique	A.Schimp.

modifier - modifier le code - modifier Wikidata

Andreas Franz Wilhelm Schimper est un botaniste français puis allemand, né le 12 mai 1856 à Strasbourg et mort le 9 septembre 1901 à Bâle.

Biographie

Il est le fils du botaniste et paléontologue Guillaume Philippe Schimper (1808-1880). Il est professeur associé à Bonn puis professeur à Bâle. Il participe à de nombreuses expéditions scientifiques. Il est notamment l’auteur de Pflanzengeographie (1898). Il fait une œuvre pionnière dans le domaine de l’écologie végétale et met en lumière la stabilité des répartitions des végétaux.

Travaux scientifiques

La découverte de Schimper des plastes dans la cellule végétale (1883^[1], 1885^[2]) fait penser au botaniste que ces organites pourraient être des « microbes » à pigments chlorophylliens incorporés par un autre organisme unicellulaire, donnant ainsi les premiers éléments à l'appui de la théorie endosymbiotique^[3].

Notes et références

↑ (de) A.F.W. Schimper, « Über die Entwicklung der Chlorophyllkörner und Farbkörper », Botanische Zeitung, vol. 41, n^o 7,‎ 1883, p. 105-160
↑ (en) A.F.W. Schimper, « Untersuchungen über die Chlorophyllkörper und die ihnen homologen Gebilde », Jahrb Wiss Bot, vol. 16,‎ 1885, p. 1-247
↑ Olivier Perru, De la société à la symbiose. Une histoire des découvertes sur les associations chez les êtres vivants. 1860-1930. Volume 1, Librairie philosophique J. Vrin, 2003, p. 203.