Alisse Waterston

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Alisse Waterston
Biographie
Naissance
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Nationalité
américaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Activités
Professeure d’université, anthropologueVoir et modifier les données sur Wikidata
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Alisse Waterston (née en 1951) est une professeure américaine d'anthropologie au John Jay College of criminal Justice, de l'université de la ville de New York[1],[2]. Son travail se concentre sur la façon donc la violence systémique et l'inégalité influence la société.

Jeunesse et éducation

Waterston a été à l'université de New York où elle a obtenu son baccalauréat en psychologie expérimentale et de l'éducation. Elle a ensuite poursuivi ses études et obtenu son master à l'université Columbia, où elle s'est concentré sur l'anthropologie culturelle, avec une thèse intitulé Puerto Rican Women in the U.S.: Family, Religion and Political Economy. Elle a poursuivi par des études de doctorat à l'école doctorale de l'université de la Ville de New York en 1990. Sa thèse, Aspects of Street Addict Life, a été publié cette année-là.

Carrière

Waterston a servi comme instructrice adjointe de 1981 à 1985 à l'université Pace à White Plains et Pleasantville, New York, dans le département d'anthropologie et de sociologie. En 1991 et 1992, elle a été professeure adjointe à l'université d'État de New York, dans la Division des Sciences Sociales. Elle a ensuite été engagée pour un an en tant que professeure adjointe à l'université Fordham, dans le département d'anthropologie et de sociologie.

Avec sa sœur Adriana, en 1992, Waterston a co-fondé Surveys Unlimited, une division de Horowitz Associates dédiée à recherche sur la vie sociale, culturelle et ethnique pour les marchés urbains. Elle a servi en tant que président de sa fondation jusqu'en 2003. Durant ce temps, elle a été professeure associée à la New School for Social Research de 1996 à 1998 à la faculté des études supérieures en sociologie à New York. En 1998, Waterston a reçu le Prix d'Excellence en Recherche NAMIC. Elle a travaillé comme rédacteur en chef du North American Dialogue (publication de la Société d'Anthropologie de l'Amérique du Nord) pour six ans[3].

En 2003 Waterston est devenue professeure associée au John Jay College of criminal Justice du département associé d'anthropologie. En 2005, Alisse a servi en tant que directrice de la Chaire du Programme de 104e réunion annuelle de l'American Anthropological Association.

En 2006, Waterston a été nommé président de la nouvelle American Anthropological Association conseil sur l'Avenir de l'Électronique et de l'Édition imprimée, un comité pour superviser le AAA de la transition à l'édition numérique avec AnthroSource. En 2015, elle sert en tant que Président[4].

En 2009 Waterston est devenu professeure titulaire au John Jay College of criminal Justice.

En 2013, elle a publié un ethnographique compte de son père dans un livre intitulé de My father's wars (Routledge)[5]. Elle est la présidente-élue de l'American Anthropological Association, à titre de vice-présidente (2014-2015) et présidente en 2016-2017[6]. Elle est membre du conseil d'administration du John Jay College Foundation, Inc.

Publications

  • Street Addicts in the Political Economy a été publié en 1993 par la Temple University Press. Waterston y discute des forces politiques, économique et sociologique qui conduisent à une vie de drogué dans les zones urbaines.
    • Love, Sorrow and Rage: Destitute Women in a Manhattan Residence a été publié en 1999 par le Temple University press. Cet ouvrage donne la voix aux femmes sans abri dans les rues de New York, exposées à la violence, à la drogue, au sida. Par ce biais, ce livre traite avec une grande force et sensibilité de narration des dysfonctionnements de la société américaine qui font régulièrement la une des quotidiens américains[7].
  • An Anthropology of War: Views from the Frontline (2008)
  • Anthropology off the Shelf: Anthropologists on Writing a été publié en 2011 avec anthropologue culturel Maria D. Vesperi. 18 anthropologues écrire sur la publication des documents de recherche.
  • My Father’s Wars: Migration, Memory, and the Violence of a Century (2013) est écrit à partir d'un point de vue d'une fille analysant son père qui a été grandement influencé par l'histoire sociale du XXe siècle

Références

  1. (en-US) Diane Cole, « 359 Years Worth Of Tchotchkes And Treasures », sur Times of Israel (consulté le )
  2. (en-US) « Columbia’s Gang Scholar Lives on the Edge », sur American Council of Trustees and Alumni (consulté le )
  3. Anthro Source, [1], retrieved 4/20/2013, login required
  4. "Israeli academics critical of American Anthropological Association boycott report".
  5. Stoller, Paul (2014) My Father's Wars: Migration, Memory, and the Violence of a Century.
  6. American Association of Anthropology business meeting report
  7. (en) « Love, Sorrow, and Rage »

Liens externes

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  • page web du livre My Father’s Wars
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