Alias Ric Hochet

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Alias Ric Hochet

9^e album de la série Ric Hochet

Scénario

André-Paul Duchâteau

Dessin

Tibet

Genre(s)

Policier
Aventure

Langue originale

Français

Éditeur

Le Lombard

Nombre de pages

44 planches

Albums de la série

Face au serpent

Les Cinq Revenants

Planche finale datée de 1968

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Alias Ric Hochet est le neuvième tome de la série de bande dessinée Ric Hochet^[1].

Publication

Les planches d'Alias Ric Hochet furent publiées dans le Journal de Tintin entre le 13 février et le 9 juillet 1968^[2] (n^o 7/68 à 28/68).

Personnages

Les enquêteurs

Ric Hochet
Commissaire Bourdon

L'association de malfaiteurs

« Rubis » (alias Richard Hochet, père de Ric), membre ponctuel de l'organisation criminelle
« Opale », jeune femme aux cheveux noirs, l'un des trois membres dirigeants de l'organisation criminelle
« Saphir », homme quadragénaire, l'un des trois membres dirigeants de l'organisation criminelle
« Diamant », le mystérieux chef de l'organisation criminelle, taupe infiltrée auprès d'Hermelin

Autre personnage

Professeur Hermelin

Lieux

Paris
un aéro-club (« Publi-Air ») dans un lieu non précisé, siège de l'organisation

Résumé

Les numéros de pages indiqués ci-dessous ne sont pas les numéros des planches. Dans la mesure où la planche 1 commence en page 3, on obtient le numéro de planche en soustrayant 2 au numéro de la page.

Mise en place de l'intrigue (p. 3 à 13)

Ric et Bourdon ont rendez-vous avec Hermelin dans son tout nouveau laboratoire, dont l'entrée est dissimulée dans un magasin de jouets. Il y cache les plans de sa nouvelle invention : un laser superpuissant.

Ric se fait suivre par un mystérieux inconnu qui tente de l'assassiner.

Plus tard, dans un aéro-club au nom commercial « Publi-Air », une organisation secrète, dont les membres ont comme noms de code des noms de pierres précieuses, s'apprête à dérober les plans d'Hermelin.

Tentatives de vol et enquête (p. 14 à 41)

Une première tentative de vol a lieu ; elle est repoussée par Ric qui suit le voleur sur les toits. Le voleur parvient à s'échapper (p. 14 à 19).

Ric et Bourdon se griment de manière à surveiller les lieux sans se faire voir de leurs ennemis. Bourdon suit un homme mystérieux ; quand il l'interpelle pour l'arrêter, il voit Ric maquillé en sexagénaire : Bourdon le félicite pour le déguisement ; néanmoins, le lecteur comprend que ce n'est pas Ric.

Une seconde tentative de vol a lieu, qui échoue encore. Deux bandits (des comparses peu importants) sont arrêtés ; le chef du commando s'enfuit. Ric le poursuit, lui met la main au collet et découvre qu'il s'agit de son propre père, Richard Hochet, censé être mort depuis au moins vingt ans. Ric, déchiré entre un sentiment filial tout neuf et sa fidélité à Bourdon, choisit d'écarter Bourdon de sa nouvelle découverte, la gardant pour lui (p. 24 à 31).

Le même soir, une entrevue a lieu entre Richard et Ric au domicile de ce dernier. Ric propose à son père de prendre sa place pour s'infiltrer dans l'organisation criminelle.

Richard accepte. Ric se grime, se maquille, et se rend chez « Publi-Air » en se faisant passer pour son père. Les bandits sont dupes du stratagème, mais un grain de sable inattendu vient tout perturber : pris de remords, Richard a décidé de venir lui aussi au siège de l'aéro-club, et s'est fait prendre par les gardes (p. 34 à 36).

Le père et le fils sont donc faits prisonniers par la bande et enfermés, avant d'être emmenés à proximité d'un avion Cessna prêt à décoller. Les deux prisonniers maîtrisent leurs gardiens et montent dans l'avion, le mettent en marche et s'enfuient. Un avion des bandits se lance à leur poursuite.